Simca(SociétéIndustrielle deMécanique etCarrosserieAutomobile) était, à l'origine, une firme automobilefranco-italienne, créée parFiatpour construire enFranceses véhicules sous licence, vendus sous la marqueSimca-Fiatde 1935 à 1938 puis après sous la seule marqueSimca.
Ce procédé a permis à Fiat
de vendre ses modèles sur le territoire français sans payer de taxes d'importations et dedroits de douane, car Simca était une entreprise basée en France et à l'époque il n'y avait pas de politique de libre-échange.
Créée juridiquement le 2 novembre
1934, sa production ne démarra que le. La marque sera reprise successivement parChryslerpuis
parPeugeot, elle sera abandonnée en1980, par Peugeot au profit deTalbot(prestigieuse marque française de voitures de sport et de luxe de l'entre-deux-guerre, rachetée par Simca en 1958 et disparue en 1960), que Peugeot préféra ressusciter. La marque Simca fait aujourd'hui partie du patrimoine dePSA Peugeot Citroën.
L'histoire de Simca débute
avec Ernest Loste, un ancien coureur cycliste de talent qui, pour sa reconversion, décide d'ouvrir un garage automobile à Paris. En 1907, il devient distributeur exclusif des automobilesFiatpour la France. Après guerre, ses affaires deviennent si florissantes que la maison-mère italienne commence à juger que laisser une petite officine
française distribuer ses produits n'est plus concevable.
En1926est créée la Safaf (Société anonyme française des automobiles Fiat), filiale française de Fiat-Italie chargée d'assurer la distribution des voitures dans tout l'hexagone. Loste est nommé président de la société mais n'est plus qu'un actionnaire minoritaire, les associés italiens de Fiat détenant l'essentiel du capital. Fiat impose
à Loste un jeune directeur turinois de 28 ans, prometteur autant qu'ambitieux,Enrico Teodoro Pigozzi, qui a pour mission d'organiser le réseau de vente.
En1929, lacrise économique mondialeprovoque le recul de la production industrielle mondiale et le repli sur soi de l'ensemble des nations.
Dans un souci deprotectionnisme, les droits de douane sont considérablement accrus : face aux productions françaises, les automobilesFiatne sont plus du tout concurrentielles. Les barrières douanières étant devenues trop fortes et l'assemblage de voitures à partir de pièces d'importation n'étant plus possible, Pigozzi - qui a francisé ses prénoms en Henri Théodore - réussit alors à convaincre les actionnaires de Fiat de produire leurs automobiles directement en France.
En1932, la Safaf, tout en gardant le même sigle acronymique devient alors la « Société anonyme française pour la fabrication en France des automobiles Fiat ». Pigozzi se heurte à un grave problème, car il ne s'agit pas simplement d'assembler des pièces venue d'Italie mais de véritablement fabriquer les pièces et de monter les véhicules. En l'absence d'usine Safaf, Pigozzi
met sur pied une nébuleuse de petits sous-traitants qui produisent les pièces à partir des plans italiens tandis que l'atelier deSuresnesest chargé de l'assemblage des automobiles. En 1932 Fiat présente en Italie sa nouvelleFiat 508 Balillarebaptisée 6 CV en France. Les premières 6 CV Safaf portent sur la calandre la mention « Fabriqué à 80 % en France » puis « Fabrication française ». Ces voitures se reconnaissent à leur calandre droite et disposent de 3 vitesses. En avril1934, quelques mois aprèsFiaten Italie, la Safaf présente la nouvelle version de la 6 CV équipée d'une boîte à 4 vitesses dont la nouvelle ligne sacrifie
à la mode pseudo « aérodynamique ».
La 6 CV connaît un vif succès
en France qui conduit à une évidence : il devient désormais indispensable de fabriquer les voitures à grande échelle dans une véritable usine et non pas de manière irrationnelle éparpillée chez une constellation de sous-traitants. Le 2 novembre 1934, la Société industrielle de mécanique et carrosserie automobile (Simca) - une entreprise au capital de huit millions de francs, 100 % française, dont tous les actionnaires sont français (Fiat étant dissimulé derrière cette façade française) et dont le fondateur
officiellement désigné dans les statuts est le comte Henri Amaury de Jacquelot duBoisrouvray- est créée dans le but d'acheter la très moderne usineDonnetàNanterre, ce constructeur étant en déconfiture. Simca rachète alors Donnet en 1935. L'usine est entièrement réaménagée par les spécialistes italiens de Fiat. Le 28 juin
1935, ceux qui dirigeront la nouvelle firme Simca sont cooptés par les actionnaires fondateurs. Il s'agit de Roger Fighiéra, nommé président et de Henri Pigozzi, nommé directeur général. Le1erjuillet 1935, l'usine entre en production et les toutes premières Simca-Fiat sortent de la chaîne tandis que
la Safaf est englobée dans Simca.
Sur l'écusson desFiatfrançaises apparaît, pour la première fois en juillet 1935, le nom Simca en diagonale sur le logo Fiat. La gamme Simca-Fiat comporte alors deux modèles : Simca-Fiat 6 CV clone de laFiat 508 Balillaet Simca-Fiat 11 CV clone de laFiat 518 Arditaqui sont donc de simples copies des versions italiennes de Fiat. Dès l'année suivante, en 1936,
Simca présente la Simca Cinq clone de laFiat 500 Topolinoqui rencontre rapidement un franc succès auprès de la clientèle hexagonale (la Simca Cinq est même dévoilée en France avant la Fiat 500 en Italie) bien que les manifestations duFront populaireen perturberont quelque peu la mise en production.
La 6 CV simple, économique
se vend toujours bien en 1937 malgré l'atmosphère de crise croissante. Son prix de base de17 500 Fcorrespond à10 moisde salaire d'un ouvrier qualifié. La 11 CV, de présentation luxueuse, coûte
elle33 000 F. En 1938, laSimca 8, clone de la Fiat 508 CNuova Balilla, prend la relève de la 6 CV vieillissante qui reste quelques mois au catalogue dans
la version fourgonnette 300 kg. La 11 CV disparaît également du catalogue. Les techniques modernes de fabrication, de promotion et de gestion des produits permettent à Simca de devenir très vite le quatrième constructeur français. Mi-1938, un nouvel écusson orné d'une hirondelle (symbolisant le slogan de ses voitures : "un appétit d'oiseau") devient l'emblème de la marque tandis que toute allusion à la société mère Fiat est prudemment effacée car, avec la situation internationale de plus en
plus tendue, la xénophobie, notamment envers l'Italie fasciste, prend de l'ampleur en France. Puis laSeconde Guerre mondialesurvient et l'activité automobile est en partie gelée.
En partie seulement... Les
vainqueurs allemands veulent que toutes les entreprises participent à l'effort de guerre, notamment pour produire des véhicules destinés aufront russe. Chaque usine se voit affecter un administrateur désigné par l'occupant. MaisFiat, firme dont le pays, l'Italie, est allié de l'Allemagne, réussit à obtenir que l'administrateur de Simca soit l'un des directeurs de Fiat-Allemagne. De fait, l'usine de Nanterre va continuer à produire des automobiles pendant encore trois ans, contrairement aux usines Citroën ou Peugeot ou Renault, contraintes à fabriquer du matériel militaire pour l'armée allemande. En 1943,
les revers de l'armée allemande conduisent à la cessation du traitement de faveur dont jouissait Simca. L'usine est affectée à la maintenance des véhicules militaires et à diverses fabrications pour l'occupant, notamment des éléments mécaniques pour les motochenillesKettenkraftradNSU(filiale allemande de Fiat) .
En1942, Simca avait été intégré à la Générale française automobile (GFA) en compagnie deDelahaye-Delage,Unic,LafflyetBernard, avec pour objectif de rationaliser la fabrication automobile. À la libération, la fabrication reprend progressivement d'autant plus que l'usine a échappé aux bombardements. Le président de la Chambre syndicale des constructeurs automobiles, Charles Petiet, remet Simca sur les rails grâce à l'appui du ministre
de la Production industrielle d'alors mais, en échange, l'entreprise s’engage à fabriquer l'AFG mise au point par Jean-Albert Grégoire, devenu directeur général technique en octobre 1944.
Un premier prototype de la
Simca-Grégoire, présentant des traits communs avec la future Panhard Dyna X est réalisé en 1945. Un second, plus proche esthétiquement de la future 203 Peugeot et que Simca devait produire, suivant ainsi les directives du plan Pons, est présenté en 1946. Malheureusement pour Grégoire, Pigozzi, qui s'était fait discret à la suite de ses accointances avec les occupants allemands, réussit à faire capoter ce projet et reprend la direction de l'entreprise, Simca échappant alors à lanationalisationet aux contraintes du gouvernement. La production redémarre avec la Simca Cinq et la Simca 8. La Simca Six, évolution de la Cinq, est lancée en1947mais ne rencontre que peu de succès face à la vive concurrence de la 4 CV de la nouvelle Régie Renault vendue moins chère (prix imposé par le Gouvernement) et offrant non seulement quatre vraies places mais aussi quatre portes.
Fiat et Simca - grâce à l'aide
américaine de reconstruction de l'Europe de l'Ouest duPlan Marshall- étudient en commun le projet d'une nouvelle voiture moderne de classe moyenne qui se concrétisera au printemps1950par le lancement de laFiat 1400et au printemps1951par celui de sa demi-sœur laSimca 9 Aronde, qui sera présentée abusivement par Fighiéra et Pigozzi comme la première « véritable » (sic) Simca au motif que sa carrosserie
et son moteur sont légèrement différents de la Fiat 1400.
L'Aronde est un franc succès
qui permet à Simca de dégager d'importants bénéfices. En1954, Fighiéra part à la retraite à l'âge de 79 ans. Il est nommé président d'honneur et Pigozzi est nommé P-DG de l'entreprise tandis que Simca, en mal d'agrandissement (son usine de Nanterre étant saturée par le succès de l'Aronde) commence à convoiter la filiale française
deFord : Ford SAF (Société anonyme française). Les modèles Vedette et Comète de Ford SAF se vendent mal car, avec leur V8 très gourmand, elles sont peu adaptées au marché français lourdement taxé. Dès1952,Henry Ford IIsongeait à se débarrasser de cette filiale qui avait du mal à écouler sa production et qui, de plus, était sujette à des grèves récurrentes et très dures qui l'effrayaient. En pleinMaccarthysme("la Peur rouge") aux États-Unis, Il avait peur que lesCommunistesprennent bientôt
le pouvoir en France ! Simca se porte acquéreur de Ford SAF, accroissant considérablement sa capacité de production grâce à l'usine dePoissyde ce dernier et héritant de laVedette, entre-temps remise au goût du jour. En1955, Simca acquiert également la sociétéUnicqui construit des poids lourds. Puis, toujours avec l'aide deFiat, Pigozzi crée laSomecapour la fabrication de matériel agricole, tracteurs notamment. Unic et Someca feront partie deSimca Industries. Ainsi, Simca devient - un temps - le premier constructeur français privé derrière l'entreprise d'État qu'est la Régie Renault.
En1958, le constructeur américainChryslerdevient actionnaire à 25 % de Simca en rachetant les 15 % du capital appartenant encore à la
Ford Motor Company et en prenant 10 % supplémentaires. Simca fabrique alors200 000 voiturespar an et, toujours en manque de place rachète le constructeurTalbotpour
son usine de Suresnes. En1961, les dollars américains permettent à Pigozzi de lancer un nouveau projet - étudié chez Fiat - laSimca 1000.
Les solutions techniques, dérivées de laFiat 850, sont similaires à celles de la Renault R8 avec un petit 4 cylindres placé en porte-à-faux arrière dans une carrosserie cubique à trois volumes. Les modèles de présérie de la 1000 sortent des chaînes de Poissy en juillet 1961 et elle est présentée au salon de l'auto de Paris
en automne. La Simca 1000 rencontre un long succès qui durera jusqu'en1978, tandis que la gamme Vedette est arrêtée.
La participation de Chrysler
passe à 63 % en décembre19621avec la vente de la majorité des actions détenues parFiatqui, avec les facilités du Marché commun, souhaite maintenant se séparer de Simca pour créer
sa propre filiale française. Pigozzi est limogé sans ménagement quelques mois plus tard lorsque les Américains s'aperçoivent que la transaction ne comprend pasSimca Industriesqui regroupe diverses infrastructures et marques indispensables à la bonne marche
de Simca Automobiles. Pigozzi se replie avec amertume chez Simca-Industries, dont il est également le PD-G, et à son décès prématuré un peu plus d'un an plus tard (il ne se remettra jamais de son limogeage de Simca Automobiles), Umberto Agnelli le remplacera et rebaptisera Simca Industries en Fiat France Société Anonyme (FFSA). Il en fera, à nouveau, la filiale française de Fiat. Ainsi, de la SAFAF de 1928 à la FFSA de 1964, Fiat a bouclé la boucle autour du protectionnisme français avec Simca.
En1963, Georges Héreil, ex-patron deSud-Aviation(le constructeur des avionsCaravelle) devient le nouveau P-DG de Simca et doit batailler ferme face à sa direction américaine pour défendre le projet de la nouvelle Simca 1100 (projet ébauché par Pigozzi à partir d'une étude Fiat qui sera commercialisée par sa filiale Autobianchi sous le nom de Primula). Les dirigeants ne veulent en effet pas engager d'argent pour étudier un nouveau véhicule alors que certains
modèles de la gamme Chrysler pourraient être mis sur le marché français. Finalement Héreil obtient gain de cause et laSimca 1100(hayon arrière et traction avant à moteur transversal) est lancée en1967 : nouveau succès avec plus de 2 millions d'exemplaires vendus jusqu'en1981.
En juillet1970, la société Simca est renommée société Chrysler France, à la suite du rachat total du solde des actions encore détenues parFiatpar le constructeur
américain. La marque Simca est cependant conservée sur les modèles jusqu'en 1980. Durant les années qui vont suivre, Chrysler Europe va négliger d'investir dans l'évolution de ses mécaniques et va rapidement se retrouver à bout de souffle.
En août 19782,Chryslerest contraint, pour survivre, de se replier aux États-Unis et donc de revendre l'ensemble de ses filiales européennes : Chrysler France (ex-Simca), Chrysler United Kingdom (ex-Rootes) et Chrysler España (ex-Barreiros). Elles sont reprises parPeugeot SAsous l'œil bienveillant - et avec l'aide - du gouvernement français. Pour la première fois de son histoire, Simca devient enfin 100 % française.
Mais, coup de théâtre :
Peugeot SA décide de faire disparaître la marque Simca un an plus tard, en juillet 1979 (pour les modèles 1980), et de la remplacer parTalbot. Ce changement de nom de marque sera un très grand échec et la marque Talbot disparaîtra seulement six ans plus tard. Aujourd'hui l'usine de Poissy - ex-Ford SAF, ex-Simca, ex-Chrysler
France, ex-Talbot - dont Enrico Teodoro Pigozzi était si fier, est toujours en pleine activité : elle produit des Peugeot, des Citroën et les nouvelles DS.
1907 : Ernest Loste crée le premier réseau de distributionFiatpour
la France.
1926 : Création de laSAFAF(Société anonyme française des automobiles Fiat), filiale française de Fiat chargée d'assurer la distribution des voituresFiatdans tout l'hexagone.
1932 : La SAFAF devient Société anonyme française pour la fabrication en France des automobiles Fiat.
1934 : Création juridique le 2 novembre de la Société industrielle de mécanique et de carrosserie automobile -Simca, parFiatcachée derrière des actionnaires fondateurs obligatoirement tous français.
1935 : Simca rachète le constructeur Donnet et dispose enfin d'une usine moderne à Nanterre que Fiat réaménagera entièrement durant près de six mois sur le modèle de son usine duLingotto.
1935 : Le 28 juin le conseil d'administration coopte Roger Fighiéra etEnrico Teodoro Pigozzi. Le lendemain ils sont nommés respectivement président et directeur général à effet du1erjuillet 1935.
1935 : Le 1er juillet est la date officielle du démarrage de l'usine et donc de la sortie des toutes premièresSimca-Fiat. En réalité il faudra trois jours de plus, soit le 4 juillet, pour que la sortie des toutes premières
Simca-Fiat soit effective.
1945 : La collaboration et l'origine italienne de la firme font peser sur Simca la menace d'une nationalisation qui est finalement évitée grâce à Roger Fighiéra et au baron Petiet.
1951 : Lancement de l'Aronde, le premier modèle original de Simca (mais étudié en collaboration avec Fiat qui a sorti un an plus tôt sa cousine en Italie : laFiat 1400). Son succès est immédiat et installe confortablement la marque Simca, parmi les constructeurs importants de l'Hexagone. La même année, Simca rachèteUnicconstructeur
de poids-lourds.
1954 : Simca rachète la filiale française de Ford (Ford-SAF), qui reçoit en échange 15 % du capital de Simca.Fiatgarde sa participation majoritaire d'origine. Le siège social déménage dans l'usine moderne de Poissy. Avec ce rachat, Simca récupère la gamme des modèles Vedette.
1956 : Simca rachète l'usine française deSaureret
la fusionne avecUnicpour former sa division "Véhicules industriels" baptiséeSimca Industries. La gamme Saurer France reste en fabrication jusqu'en 1957.
1958 : Simca rachète le constructeurTalbot.Fordvend sa participation de 15 % dans Simca àChrysler.Fiatcommence à se désengager de Simca.
1961 : Lancement de laSimca 1000. Long succès, qui durera jusqu'en1978. En cours de négociation pour le rachat deCitroënet afin de ne pas être taxé de vouloir mettre la main sur l'industrie automobile française,Fiatcède la majorité du capital à Chrysler et fonde une nouvelle filiale en France : la FFSA (Fiat France S.A.).
1967 : Lancement de laSimca 1100. Succès qui terminera sa carrière en1981.
1970 : Simca, qui avait été petit à petit phagocyté dans les années 1960 parChryslerEurope, devient la société Chrysler France. Chrysler-Europe comprend aussi la marque espagnoleBarreirospoids-lourds et Simca-España,
ainsi que les marques britanniques de l'ancien groupe RootesHillman,Sunbeam,Humber,Singer,KarrieretCommer.
1978 : En difficulté financière, Chrysler vend sa filiale Chrysler Europe àPSA Peugeot Citroën.
1979 : PSA change l'appellation Chrysler Europe enTalbot.
1980 : La marque Simca est abandonnée à la fin du millésime. Elle appartient toujours au groupe PSA. Sous le nom de Talbot, plusieurs modèles conçus par Simca seront commercialisés sans succès jusqu'en 1986 : Horizon, Samba, Solara, 1510, Tagora.
2004 : Un musée Simca ouvre à Poissy3sur le centre technique PSA de Carrières-sous-Poissy.
Simca a vendu des véhicules
auxÉtats-Unisdans lesannées 1960mais
n'a jamais réussi à s'implanter sur ce marché du fait de la puissance de l'industrie automobile nord-américaine et d'un positionnement inadéquat en termes de modèles proposés. Les modèles proposés étaient laSimca Aronde(1958-1962), laSimca Ariane(1959), laSimca 1000(1962-1969, vendue sous le nom de Simca
1118) et laSimca 1100(1969-1971, vendue sous le nom de Simca 1204).